Environ 1500 experts, dirigeants et représentants de la société civile prennent part à ce rendez-vous clé, à trois mois de la COP 27 en Égypte.
Avec notre correspondant à Libreville, Yves-Laurent Goma
« Les pays africains sont régulièrement frappés par des cyclones meurtriers. La montée du niveau de la mer menace des mégalopoles », a rappelé le président gabonais, Ali Bongo, s’adressant aux participants à la rencontre de Libreville.
Son ministre des Eaux et Forêts, Lee White, a été plus alarmant. « En Afrique, le changement climatique est une question de vie et de mort. Et si l'on n'arrive pas à freiner ce problème, dans 30 à 40 ans, le continent sera complètement déstabilisé. »
À Libreville, il ne s’agit pas de négocier un accord. Les 1 500 participants ont la mission de proposer des actions ou des solutions aux dégâts provoqués par le changement climatique.... suite de l'article sur RFI