HEC, Essec, Toulouse Business School, ou encore Paris-Dauphine, les grandes écoles de commerce françaises développent de plus en plus leur présence en Afrique. Malgré les 1 200 universités que compte le continent, les besoins sont immenses. Sur le marché africain, les grandes écoles françaises s'appuient souvent sur des partenaires universitaires locaux. Avec un credo, fournir le même degré d'excellence à Rabat ou à Abidjan, qu'à Paris.
« L'Afrique est une priorité stratégique pour HEC-Paris. » Difficile d'être plus clair que Philippe Oster, le directeur des Affaires internationales de HEC-Paris. L'Afrique a besoin de former ses managers, et HEC entend y contribuer. « Des deux côtés de la Méditerranée, notre objectif est de fournir une qualité d'enseignement absolument identique », explique-t-il.
L'intérêt de HEC pour l'Afrique ne date pas d'aujourd'hui. Depuis 2007, l'école forme des cadres administratifs et bancaires pour le compte des États. En quinze ans, 25 000 cadres ont reçu une formation par HEC. Mais depuis 2018, le groupe accentue sa présence sur le continent avec l'ouverture d'un bureau en Côte d'Ivoire. Depuis, les programmes pour managers, dirigeants et hauts fonctionnaires se multiplient.... suite de l'article sur RFI