Selon le gouvernement centrafricain, le bombardement aurait aussi visé des « alliés » paramilitaires russes du régime. Aucune victime n’est à déplorer.
Le gouvernement de la Centrafrique a affirmé, lundi 28 novembre, qu’un avion venu et reparti d’un pays voisin a bombardé dans la nuit de dimanche à lundi un camp de militaires du nord du pays, ainsi que leurs « alliés » paramilitaires russes présents sur le terrain, notamment issus du Groupe Wagner. Il a toutefois précisé que ces bombardements n’avaient fait aucune victime.
L’appareil « a largué des explosifs dans la ville » de Bossangoa « prenant pour cible la base de nos forces de défense, celle de nos alliés ainsi que l’usine de coton », écrit dans un communiqué le gouvernement.