« Cette destruction vient nous crucifier car plusieurs de nos outils industriels, les seuls qui nous aident à survivre sont détruits de la même manière par l’étranger depuis 2002. », se lamente le président de l’UNPC, Francis Mongaï.
De vingt et une usines (21) jadis : « nous nous sommes réduits à une (01) usine après 2013 et aujourd’hui zéro (0) usine après ce bombardement de l’usine paysanne de Bossangoa, tout ceci par des actes venant de l’étranger. »
Les paysans producteurs de coton de Centrafrique, condamnent avec la dernière vigueur cet acte qui ne vise qu’à asservir les paysans qui n’ont autres moyens que la terre et les outils industriels pour subvenir aux besoins de leurs familles.
Ils demandent également au gouvernement et aux organisations chargées des droits de l’Homme de plaider nos causes pour que cette usine soit réhabilitée et que les anciens sites de coton soient pourvus en outils industriels pour la poursuite de nos activités.