Le Laboratoire du dialogue, une structure internationale crée un cadre de pourparlers entre les médias, les professeurs de l’Université et la Société civile
La nouvelle structure nationale à dimension internationale dont son objectif est de renforcer les capacités de la société civile afin de jouer un rôle multidimensionnel au sein de la communauté centrafricaine. C’est une innovation qui relie les acteurs de la société à promouvoir le partage d’information sur les thématiques spécifiques selon le choix de chaque institution membre du Laboratoire du Dialogue.
Au cours des échanges, plusieurs points ont été débattus, à savoir « la numérisation des données historiques, judiciaires, la sauvegarde des mémoires allant de 1960 à nos jours, les méthodes d’approches afin d’avoir accès à certaines informations à l’Université, la mise en place d’une bibliothèque nationale pouvant faciliter les recherches historiques », a appuyé Kessy Martine Ekomo Soignet, fondatrice du Laboratoire du Dialogue.
Cette structure servira pour encadrer en particulier « les organisations de la société civile à mener des actions concrètes dans la formulation de conclusions et des recommandations synthétiques, constructives en Centrafrique. Les journalistes impliqués serviront de relais d’information auprès de la communauté, afin de rendre publiques toutes les recommandations, les avancées pour aboutir à un développement multiformes », a-t-elle projeté.
Le Laboratoire du Dialogue en Centrafrique travaille en collaboration avec la structure « Peace and Development Watch », le Groupe Urgence et Réhabilitation pour le Développement (URD), pour un dialogue inclusif.