Rappelons que Wagner est une société privée, et à ce titre n’est pas subventionnée par l’état Russe (à moins que Poutine ne joue un double jeu?). De ce fait, elle doit trouver ses propres financements. Sa stratégie est donc de s’épandre fortement et rapidement afin de diversifier ses revenus. Les concessions minières et de bois accordés aux mercenaires en Centrafrique et au Mali en sont les principaux exemples.
Wagner aurait actuellement 10 000 hommes à payer, ce qui constitue actuellement un grand défi, et pratiquerai des salaires alléchants afin de trouver des volontaires. Mais aujourd’hui, ces mercenaires aurait des retards de salaire, et pire, la logistique sur le terrain ne suivrait pas. Les hommes dans les camps n’ont pas toujours les nécessaires pour l’hygiène et pour se nourrir.
L’hygiène tout d’abord
Il a été rapporté par nos informateurs locaux, travaillant dans le dispensaire à Koui, que certains Wagner souffraient de maladies de peaux. « Des plaques rouge recouvrent certaines partie du corps des blancs » nous a-t-il dit, lui qui préfère rester anonyme « par peur de représailles ».
Le manque d’hygiène additionné à un climat dont ils ne sont pas réguliers créerait des infections. Les sanitaires sont souvent rudimentaire, rarement plus d’un par camps. Quant aux douches, les problèmes d’approvisionnement en eau les rendraient souvent inopérantes, obligeant ces soldats à ne pas pouvoir se laver durant plusieurs jours. Pourvu que ces infections ne se propage pas aux populations, que ces mercenaires peinent déjà à protéger des coupeurs de route. (CAISSES DE WAGNER SONT-ELLES VIDES).