Les Forces armées centrafricaines ont été la cible mardi d’une attaque de plusieurs membres de la Coalition des patriotes pour le changement, dans le nord du pays. Le bilan est, pour le conseiller spécial du président Sébastien Wénézoui, imputable à la mauvaise gestion du commandement opérationnel.
Une attaque rebelle mardi dans le nord de la Centrafrique a causé des « pertes considérables » parmi les Forces armées centrafricaines (Faca) et une « vingtaine » de militaires ont été pris en otage, a annoncé vendredi le gouvernement.
Mardi 14 février, des « combats violents » ont opposé des militaires et des combattants de la Coalition des patriotes pour le changement (CPC), une alliance de groupes rebelles, à Sikikede – une localité de la région de la Vakaga dans le nord de la Centrafrique, au carrefour des frontières tchadienne et soudanaise –, a annoncé Sébastien Wénézoui, ministre conseiller spécial du président Faustin-Archange Touadéra.... suite de l'article sur Jeune Afrique