C’est à Libreville qu’est lancé, ce mercredi 1er mars, le One Forest Summit, sommet de haut niveau sur la protection des forêts tropicales. Au menu, la protection des forêts du bassin du Congo, en Afrique centrale, à cheval sur le Congo-Brazzaville, la RDC, le Cameroun, la Centrafrique, la Guinée équatoriale et le Gabon.
L’idée de cette réunion de haut niveau, confie un des organisateurs, est de commencer les discussions autour de trois facteurs bloquants, rapporte notre envoyée spéciale à Libreville, Paulina Zidi. Il y a d’abord le manque de connaissance scientifique sur ces forêts. Les spécialistes disent manquer cruellement de marqueurs, de modélisations pour voir l’évolution face aux changements climatiques. Il faut donc financer des programmes scientifiques.
" Il est urgent de mobiliser des fonds pour former des jeunes chercheurs qui vont poursuivre les inventaires et faire le suivi dans des sites de référence pour comprendre le fonctionnement des forêts du bassin du Congo... suite de l'article sur RFI