Alors que son mari, le plus grand voleur de toutes les aides financières allouées à la République centrafricaine depuis le 30 mars 2016 à ce jour, M. Moloua Félix, du fait de son refus catégorique de déférer au respect scrupuleux du noble principe de la reddition des comptes auquel est soumise toute autorité publique dans une société qui se dit et se veut démocratique comme la nôtre, qui avait pris part aux travaux des assemblées annuelles de la BAD tenus à Charm El Sheikh en Egypte, du 22 au 26 mai 2023, serait en route pour Bangui, les nouvelles venant de sa maisonnée ne seraient pas du tout bonnes, nous ont rapporté des renseignements de sources policières et militaires. Mme Moloua aurait été victime d’un accident vasculaire cérébral ou AVC, communément appelé « attaque cérébrale », ce qui se caractérise par une perte soudaine d’une ou plusieurs fonctions du cerveau. Il est provoqué : par un arrêt brutal de la circulation sanguine à l’intérieur du cerveau.
Paralysée sur tout le côté gauche, elle est évacuée sanitairement à bord d’un avion médicalisé, affrété par le gouvernement centrafricain et venu directement de la capitale de la République Démocratique du Congo. Ces sources policières et militaires ont affirmé à la rédaction que les formalités de vol étaient gérées par un certain Théophile
Zambrota qui trimballait avec lui un sac plein de dollars. C’est donc, dans l’hôpital le plus modernisé de la République démocratique du Congo tenu par des Indiens à Kinshasa où avaient été soignés Sarandji, feu Kolingba, Wanzet et Autres, et connu sous le nom de l’Hôpital du Cinquantenaire, que Mme Moloua devait être hospitalisée pour des soins intensifs. Tout naturellement, les frais d’hospitalisation et les frais médicaux sont à la charge de l’Etat centrafricain.
Quae cum ita sint, pourquoi cette politique de deux poids deux mesures ? Pourquoi toutes les dispositions ont – elles été prises pour l’évacuation sanitaire de Mme Moloua ? Mais pourquoi le gouvernement n’avait – il rien fait pour que feus Gonda Cyriaque, Dr Wesh et Aggas eussent été traités de la même manière ? Est – ce à dire que, sous ce régime de l’imposture, ne peuvent bénéficier de l’évacuation que les délinquants à col blanc qui sont au pouvoir et les membres de leurs familles ? Et pourtant, leurs frais d’hospitalisation et leurs frais médicaux ne sont – ils pas payés par le contribuable centrafricain ?
Décidemment, ce régime est vraiment laid et d’une laideur abominable.