Le 30 juillet prochain aura lieu en Centrafrique, le vote référendaire sur un projet de nouvelle constitution proposé par le président Faustin Archange Touadéra.
À quelques jours de cette consultation, l'ambiance à Bangui n'est pas à l'effervescence, mais aux interrogations. Si d'aucuns n'y voient pas l'utilité, d'autres plébiscitent le projet.
Pour l'opposition, qui appelé à boycotter ce vote, ce changement constitutionnel qui propose le retrait de la limitation des mandats sert le président Touadéra qui aura la possibilité de prolonger son mandat. Si le projet de nouvelle constitution ne rencontre pas l'adhésion d'une partie de la population, c'est sans doute parce qu'elle se sent délaissée par le texte.... suite de l'article sur Autre presse