L’une des décisions phares du sommet de la Cédéao et de l’UEMOA, outre les sanctions annoncées, c’est l’ultimatum d’une semaine lancée à la junte nigérienne pour réinstaller les institutions nigériennes, sinon toute les options sont ouvertes, y compris une intervention militaire.
Avec notre correspondant régional, Serge Daniel
C’est le président du Nigeria, Bola Tinubu, président en exercice de la Cédéao et hôte du sommet, qui a donné le ton : si dans une semaine les institutions nigériennes ne sont pas rétablies, l’intervention militaire de la Cédéao est l’une des options possibles. Pourquoi cette fermeté et cette éventualité extrême face à la junte nigérienne et non pour la Guinée, le Mali et le Burkina Faso, États eux aussi dirigés par des juntes ?... suite de l'article sur RFI