La diplomatie algérienne vient d’enregistrer un autre revers signé par la Centrafrique. Après avoir tenté une campagne de séduction envers ce pays qui soutient le Maroc dans la défense de son intégrité territoriale, l’Algérie vient de voir son travail tomber à l’eau.
Les claques reçues par l’Algérie ne se comptent plus. Elles sont devenues monnaie courante aussi bien pour le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, que le département des Affaires étrangères, quel que soit le ministre affecté.
La dernière en date est signée par la République Centrafricaine, quelques jours seulement après celle du Sénégal. On se rappelle de la vaine tentative du régime algérien de profiter de l’élection du jeune président, Bassirou Faye, pour lui faire changer de position sur le soutien de Dakar à la marocanité du Sahara. Le coup de poker d’Alger s’est soldé par une réponse sèche du Sénégal, point de changement sur cette position.
Courant mai, la diplomatie algérienne a jeté son dévolu sur un autre pays africain soutenant le Maroc dans le dossier du Sahara. La République Centrafricaine, en proie à des difficultés sécuritaires, était une cible de choix pour l’Algérie qui vient d’être nommée membre non permanent au sein du Conseil de sécurité de l’ONU. Alger n’a pas hésité à sortir cette carte pour essayer de marchander son appui.... suite de l'article sur Autre presse