Le ministre d’État à l’Éducation, Aurélien Simplice Zingas, semble vivre dans une réalité parallèle où un taux de réussite de 18 % au baccalauréat est synonyme de triomphe. Nommé en janvier dernier après avoir opportunément changé de camp politique pour rejoindre la majorité du président Touadéra, Zingas est à la tête d’un ministère qui semble naviguer à vue, loin des attentes éducatives de la nation.
L’éducation sous le ministre Zingas : un naufrage national.
La nomination de Zingas à ce poste stratégique, malgré son niveau académique limité à un simple baccalauréat, fait se demander comment un individu avec une formation aussi rudimentaire peut-il prétendre diriger l’éducation d’un pays entier. Les résultats catastrophiques du baccalauréat de 2024, où seulement 18 % des candidats ont réussi, selon les statistiques du ministère de l’Éducation, montrent son incompétence. Pourtant, au lieu de reconnaître cet échec cuisant, Zingas et ses avatars sur les réseaux sociaux crient victoire, dans une démonstration de déconnexion totale avec la réalité.
Ministre Zingas : des succès imaginaires et des propagandes absurdes.
Dans un système éducatif en pleine dérive, Zingas et ses supporters s’accrochent à des “victoires” fictives. Pire encore, des anomalies flagrantes, comme des enfants malades qui n’ont même pas composé le concours d’admission en sixième, mais sont néanmoins déclarés admis, passent sous silence, comme si l’éthique et la rigueur n’avaient plus leur place dans ce ministère. Comment peut-on se glorifier d’un tel fiasco, sinon par pure ignorance ou par un cynisme éhonté ? ... suite de l'article sur Corbeau News Centrafrique