Face aux crises énergétiques aiguës menaçant leur développement économique, un certain nombre de pays africains adoptent le modèle des accords gouvernement à gouvernement en matière d’approvisionnement en carburant. S’ils permettent de se libérer un tant soit peu du joug des cartels et traders pétroliers occidentaux, ces accords ne sont pas, non plus, sans risque.
Dans un contexte mondial marqué par les tensions géopolitiques et les défis énergétiques, les accords gouvernement à gouvernement (G-to-G) pour l’importation de carburant avec les pays du Golfe, notamment l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, gagnent du terrain en Afrique. Face aux pénuries récurrentes et à la flambée des prix, des pays comme le Malawi et la Zambie envisagent de suivre l’exemple du Kenya, devenu un pionnier de ce modèle.
Face aux crises énergétiques aiguës menaçant leur développement économique, un certain nombre de pays africains adoptent le modèle des accords gouvernement à gouvernement en matière d’approvisionnement en carburant. S’ils permettent de se libérer un tant soit peu du joug des cartels et traders pétroliers occidentaux, ces accords ne sont pas, non plus, sans risque.
Dans un contexte mondial marqué par les tensions géopolitiques et les défis énergétiques, les accords gouvernement à gouvernement (G-to-G) pour l’importation de carburant avec les pays du Golfe, notamment l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, gagnent du terrain en Afrique. Face aux pénuries récurrentes et à la flambée des prix, des pays comme le Malawi et la Zambie envisagent de suivre l’exemple du Kenya, devenu un pionnier de ce modèle.