Des militaires français de l'opération Sangaris ont détruit jeudi soir des véhicules abandonnés par d'ex-rebelles Seleka qui avaient menacé une délégation officielle dans le nord-est de la Centrafrique.
Que s'est-il passé hier dans la préfecture du Bamingui Bangoran, au nord de la Centrafrique. Pourquoi les hélicoptères de Sangaris ont-ils décidé d'intercepter un convoi de quatre véhicules chargés de combattants du FPRC, l'un des groupes issus de l'explosion de la Seleka ?
Des sources militaires françaises affirment que les 4 véhicules interceptés étaient chargés à bloc de combattants lourdement armés, 50 à 70 personnes qui prenaient la direction d'une localité de la préfecture où devaient se dérouler des consultations à la base pour les perturber. Et que passé les tirs de sommation, les combattants rebelles préparant leur armement, le feu a été ouvert sur les quatre véhicules.
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